mercredi 6 juillet 2011

Main square, le bilan Day 3#

Bien le bonjour à vous !

Vous allez me dire "y'a pas un souci ? Pas de jour deux ?!"

Et non pas de jour deux, puisque je n'avais pas eu de places, et étant fauchée comme les blés, je n'avais pas envie de mettre 60€ dans une place ave c tous les frais qui vont avec (transports, nourritures and co).

Donc direction la troisième et dernière journée. Je vous ferais demain un petit bilan technique du festival, pour l'instant, je m'attache à la musique.

Etant rentrée sur la côte samedi, je reconnais ne pas m'être pressée le dimanche et avec déjeuner en famille, au soleil, et d'avoir fait une petite sieste au soleil. Tranquillou pèpère.



Nous sommes donc arrivés sur le coup de 5h, juste avant ELBOW... Dont nous n'avons pu voir que les dernières minutes, grâce à la .... des organisateurs, qui avait bloqués deux des trois accès à la scène principale. Idéal, nous n'avons pas pu accèder à la scène en raison d'un embouteillage monstre. Dix mètres en quinze minutes, nous avons rebroussé chemin. Nous avons fini par en voir la fin, une ou deux chansons.

Ensuite, direction la greenroom et JULIAN PERRETTA. J'ai beaucoup apprécié cet artiste, sa simplicité, sa timidité et bien sur, son style musical.







Puis PJ HARVEY. J'attendais avec impatience ce concert. J'ai découvert PJ Harvey en seconde, lorsqu'il nous a fallu faire la critique d'un album audio. Je l'avais choisie avec Uh Huh Her, que j'avais adoré. Le temps faisant, je n'avais pas suivi la suite de sa carrière. J'ai donc reconnu peu de chansons. N'empêche qu'elle est drôlement forte la Polly, elle enchaine les instruments (guitare électrique, sèche, et un autre instrument donc le nom m'échappe mais qui ressemble à une petite harpe). Reconnaissons aussi le talent de ces deux musiciens / chanteurs.

Elle était magnifique dans sa robe blanche (bon j'ai moyennement accroché avec le corset à sangles) et son ... chapeau plumes va-t-on dire. Le blanc lui allait parfaitement bien, légèreté, pureté, comme ses chansons et sa personnalité. Elle n'a pas pippé mot du concert si ce n'est quelques "thank you".

Néanmoins, je reconnais que dans le froid, j'aurais préféré écouter ce genre de muique allongée dans un bon canap'.

En attendant PORTISHEAD, nous regardons COLD WAR KIDS. D'un oeil distrait puisque nous avons joué au jeu Directstar (je vous en reparlerai).

Puis redirection la grande scène avec PORTISHEAD. Et là plus questions de bouger, vu que Coldplay arrivant après, facile de se douter le bazar que ça allait être. Portishead, portishead.... Que dire ? Au risque de me faire lyncher sur la toile publique, j'aurais pu dormir. Après PJ HARVEY déjà très calme, le concert de PORTISHEAD à manquer de m'assomer. Avec le froid et la fatigue, je pense qu'il aurait été logique de mettre un groupe un peu plus speed. Mais l'homme et les autres, fan du groupe, ont adoré. Les goûts et les couleurs hein ?! Ce qui me rassure c'est d'avoir lu quelqu'un qualifier le show de "soporific session".

Quant à COLDPLAY, c'est le seul et unique vrai show du festival. Feux d'artifice, ballons etc... L'an dernier nous avions été gâté avec Pink, les BEP et Rammstein.
J'ai beaucoup aimé ce concert, orchestré au millimètre prêt. Chirs Martin, charmant, communicatif, avec une pêche énorme. Le groupe a enchainé les tubes. La place était pleine, vu que la plupart des gens du dimanche venaient pour eux. De la folie.
Le concert débutant avec le générique de Retour vers le futur. Moi je me suis exclamée "Oh c'est Star wars". L'homme a failli m'étouffer. Notons que Chris Martin portait apparemment la cocarde de la RAF, en hommage aux combattants de la seconde guerre. (étant complétement bigleuse, je répète bêtement ce qu'on me dit hein).

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